André, un vieil homme irascible, tente de lutter contre la maladie d'Alzheimer. Hanté par des souvenirs qui s'effilochent, il reçoit le soutien de sa fille Anne, désemparée par son caractère et sa condition.
Une fratrie de trois enfants (5, 8 et 9 ans) dialogue dans sa chambre de ce qu'elle vit. Les enfants sont orphelins de père, leur mère est malheureuse et le grand frère veut aller observer la nuit des étoiles l'été prochain. Sur plusieurs mois, leur relation, leurs dialogues montrent la surmontée du deuil.
Restorative retelling (RR) is an evidence-based procedure for facilitating adaptation following traumatic bereavement. In this paper, we introduce performative retelling (PR), a variation on RR, which fosters healing from personal losses and portrays personal reactions to collective tragedy. We describe our collaboration with an ex-offender reentry program, the Memphis Police Department, and Playback Theatre to use improvisational community theatre to bridge the gap between law enforcement and the citizens they serve. We review program outcomes to-date and illustrate its impact using participant stories. We argue that training police and citizens in PR can potentially transform broken narratives of police-community relations.
Cette pièce met en scène la perte de mémoire progressive d'une personne âgée dépendante, à travers le vécu de trois protagonistes : la patiente, son aidant familial et son référent hospitalier.
Ethel, 7 ans, tente de faire le deuil de sa mère à l'aide de son imagination et se réfugie souvent sur sa tombe. Un jour, elle y croise Victor, 10 ans, venu assister à l'enterrement d'un grand-oncle qu'il n'a pas connu. Une amitié profonde débute entre les deux enfants et les fait basculer entre réalité et merveilleux.
Being able to communicate effectively is an essential skill for all nurses. Communication in paediatric end of life care can be challenging for both the student and lecturer as it is a rare experience and challenging to teach. Innovative approaches to teaching communication skills such as role play, simulation and drama have been used; however there is a dearth of literature examining the use of drama in this specialist context. The aim of this study was to explore the effectiveness of a novel workshop in teaching transferable knowledge and skills in palliative, end of life and bereavement care communication to a convenience sample of first year pre-registration nursing students undertaking clinical skills training at a UK university. Qualitative and quantitative data were obtained from pre and post intervention questionnaires exploring student's perception of communication skills. Qualitative data were analysed thematically and quantitative data presented as standard descriptive statistics. The novel communication workshop facilitated students' exploration of how good and poor communication looks and feels and introduced aids to inform communication in clinical practice. Exposure to different learning approaches provided opportunities to both gain confidence in engaging in new learning activities and develop knowledge and skills through purposeful engagement.
Pièce de théâtre courte de l’auteure qui a travaillé plusieurs mois avec des classes de CM1-CM2, Un Village sans papas raconte l’atmosphère dans un village au début de la guerre de 14-18 quand tous les papas sont appelés pour aller se battre. Blaise et Victor vivent chacun différemment ce qui se passe : le premier quand son père revient mutilé, le deuxième qui parle avec le fantôme de son père décédé.
Une pièce de théâtre touchante, qui se lit très vite et traduit bien l’ambiance de cette période avec les ressentis d’une adulte et de ceux des enfants. Au début ils jouent à la guerre avant de se rendre compte que certains papas ne reviennent pas car ils sont morts et que d’autres reviennent différents car mutilés et englués dans ce qu’ils ont vécu sur le front. Une pièce autour de la transmission des souvenirs.
Pièce de théâtre. Octave a douze ans, pour se réconforter de la mort de son père, il dessine, joue avec Squeenzie, son cochon d'Inde, et écoute en boucle l’enregistrement de la voix de son père sur son dictaphone. Un jour, en rentrant de l’école alors qu’une bande d’adolescents lui a déchiré ses dessins et cassé son dictaphone, il passe dans un autre monde avec son cochon d’Inde par l’intermédiaire d’une porte lumineuse. Il commence une quête qui le mènera à travers plusieurs mondes. Il découvre l'amitié, la confiance, le courage et entame son deuil grâce à cette aventure fantastique.
Cette pièce de théâtre de 29 courts chapitres est jouée par 7 enfants, âgés de 4 à 11 ans, Acar, Bouh, Gus, Oz, Siran, Ine et Uno. La pièce démarre sur l'enterrement d'un petit oiseau. Chaque enfant participe aux funérailles, l'un porte la brouette où est déposée l'oiseau, l'autre creuse le trou, un autre apporte des brins d'herbe, le suivant le dépose dans le trou, etc.
A la fin de la cérémonie, après un long silence, s'en suit un long échange de ce qu'est la mort pour chacun d'entre eux et de ce qu'est la vie pour ceux qui restent. Chacun a son avis. Eh bien sûr quand on parle de la mort, on parle aussi de la vie !
Jacob Brackish, ancien professeur au lycée de Gloucester, est très malade et n'en a pas pour longtemps, selon l'avis de son médecin. Il a besoin d'une aide à domicile. Il embauche Kathleen Hogan, jeune femme maladroite et sensible, qui va l'aider à se révéler à lui-même.
Choeur d'une musique de chambre funèbre, avec le comique qui sied au désespoir, Poussière nous embarque sur les rivages de la vie. Rivages où l'on prend des vacances et contemple le large, où viennent aussi s'échouer des corps noyés. Etranges rives de la conscience où l'on préfère ne pas s'encombrer des marginaux et des réfugiés. Tout à leurs paysages intérieurs, souvenirs et territoires de l'oubli, les vacanciers de Poussière cherchent l'essence même de la vie dans cette symphonie des adieux.
[4e de couv.]
L'histoire d'Alice, la cadette d'une famille de trois enfants qui, peu de temps avant la rentrée scolaire, apprend qu'elle est gravement malade. Deux ans après le diagnostic, elle meurt, entourée des siens, et la dynamique familiale est à réinventer.
Cet ouvrage regroupe trois pièces de théâtre :
- Tam d'Eric Durnez raconte l'amitié exclusive d'un enfant pour un autre garçon de son âge arrivé de Chine... une amitié si exclusive qu'elle va pousser le héros à commettre un acte dont les conséquences le poursuivront toute sa vie.
- Noeuds papillon de Marie-Eve Huot décrit le traumatisme d'une petite fille de 11 ans qui perd la parole à la mort de son père. Mais elle va la retrouver grâce au partage de la passion de son papa (l'aviation) avec les enfants de sa classe et un conte chinois approprié.
- Azur d'Emma Haché raconte le départ vers la mort d'Azur, un petit garçon, et la tristesse de ses parents qu'il ressent au plus profond de lui-même.
Deux soeurs et leur frère trouvent leur mère sans vie sur le sol de la cuisine. Pour ne pas être séparés par les services sociaux, ils cachent durant plusieurs jours sa mort à leur entourage. Un drame intime sur la confiance, l'amour et la solidarité.
Deux pièces de théâtre ont cherché à répondre à la question : est-il possible d'examiner comment le chagrin affecte les relations familiales, sans utiliser la parole ? Entretien avec les co-directeurs et directeurs des spectacles.
Le thème de la mort effectue un retour en force au travers de la création artistique contemporaine. Si ce thème traverse toute l'histoire de l'art, ce qui interpelle est la façon actuelle, différente et/ou innovante dont les créateurs contemporains s'en saisissent. La mort se décline sous toutes ses formes, des plus spectaculaires et horrifiques aux plus banales et communes ; leurs créations dérangent, heurtent parfois et interrogent notre rapport social et esthétique à la mort.
Amélie, 11 ans, perd son père et se mure dans le silence. Elle apprivoise son deuil en se passionnant pour l'aviation, comme son père à son âge. Cette pièce de théâtre nécessite une lecture accompagnée car sa lecture peut être difficile à cause des indications scéniques.
En Angleterre, de nos jours. Chloé, 15 ans, vient de perdre son frère Luke de 18 ans dans un violent accident de voiture. Hannah, une amie de Chloé en mal de reconnaissance, crée une page Facebook en souvenir de Luke. Toute la communauté du lycée de la petite ville s'empare du tragique événement. Tout à son chagrin, Chloé est confrontée à ces amitiés aussi virtuelles que fugaces, jusqu'à ce qu'une rencontre, toujours sur Facebook, lui offre une échappée belle qu'elle n'aurait pas imaginé possible avant cela.
Pénombre. Une chambre mortuaire où se recueille le fils de la défunte. Il est silencieux, regarde autour de lui, s'aperçoit que sa mère a été maquillée, qu'elle est habillée avec un soin recherché.
Le fils va se remémorer le passé, revivre sa relation avec sa mère.
Nous devenons les témoins d'un face à face entre la mère et le fils qui va interroger celle-ci jusqu'à l'odieux sur la disparition du père pendant la guerre.
Mais a-t-il rêvé ce que nous entendons ? Ou a-t-il réellement posé ces questions ?
[Résumé éditeur]
"Côté courtes" propose une série de vingt-quatre textes autour de la thématique des "objets perdus". Tel personnage lance un avis de recherche pour retrouver "le nord", "le sens commun" ou "l'occasion de se taire", un cultivateur de betteraves reconverti en croque-mort commet une funèbre méprise, tandis qu'au seuil de la mort, une femme dialogue avec ses alter ego du passé.
[Extrait résumé éditeur]